De Michel Deutsch


 

 

 

 

 

 


©Danièle Pierre

Création : le 28 janvier 1994 au Théâtre Varia (Bruxelles)

Notre premier "véritable texte de théâtre". Mais là encore, il s’agit d’une écriture en forme de collage, que certains ont classée dans le théâtre dit du « quotidien », mais que nous traitons dans une certaine abstraction. Si le quotidien est bel et bien présent, il n’a rien de naturaliste et sert d’abord à une réflexion philosophique sur la place de l’homme dans le monde. La scénographie, à base d’images enchâssées dans des caissons lumineux, est l’œuvre d’un plasticien français : Marc Rosensthiel.

 

Distribution :

 

Interprétation : Laurent Beaufils, Matthieu Chemin, Anne-Sophie de Bueger, Patrick Goossens, Erik Konstantyn, Florence Madec, Estelle Marion, Lotfi Yahya.
Mise en scène : Xavier Lukomski
Assistanat : Layla Nabulsi
Décor : Marc Rosenstiehl, Jean-Baptiste Marot
Assistant décor : Laurent Beaufils
Son : Dominique Baguette
Costumes : Françoise Colpé
Maquillage : Françoise Joset
Lumières : Xavier Lauwers
Photos : Michèle Hubinon
Production : Théâtre des 2 Eaux, Théâtre Varia, avec l'aide de la Communauté française - Service des Arts de la scène

 

 

Presse :



ENTRE ILLUSIONS ET QUOTIDIEN, ON SE DISLOQUE, L'AIR DE RIEN
« Costumes contaminés par les obsessions des personnages qui les endossent, décor sonore cristallisant les humeurs er rêveries, scénographie teintée par la crudité et nudité du texte... sont autant de complices de la mise en scène sensible et débordante d'idées de Xavier Lukomski. (...)  Si ce spectacle audacieux touche et séduit, il en déroutera aussi plus d’un, mais n’est ce pas là que réside l’intérêt du théâtre… »
Christelle Prouvost – Le Soir – 31 janvier 1994

CHIENNE DE VIE ET ÉVASION MORTELLE
« "La bonne vie" funambule entre conversations quotidiennes crues et plongées poétiques ou triviales dans la souffrance d'exister.  Elle donne aux comédiens matières actives, mais parfois trop limpides à jouer.  Intelligemment, ils se sortent de cette littéralité en alternant dérision, conviction et distanciation.  Ils sont tous remarquables et joliment habités. (...) Un spectacle drôle et amer sur l’angoisse de vivre, la poisse et sa crasse. »
Claire Diez – La Libre Belgique – 1er février 1994


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